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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 20:52

Le syndrôme de la page blanche est le mal des écrits inachevés

 

J'ai peur.

J'ai peur que tu me vois un jour comme ça, comme une loque qui pleure sans même savoir pourquoi.

Je n'ai pas envie que tu te dises que celle qui partage ton lit est une dépréssive à ses heures perdues

Je refuse que tu penses que je sois quelqu'un de ne pas assez forte pour être seule parce que la vérité c'est que la solitude me va bien, au contraire elle me stimule.

C'est juste que tu as été mon cyclone, mon tsunami [ INACHEVE ]

 

Je me suis demandé si j'en demandais trop, si j'étais trop exigeant, ou un véritable connard

Je me suis demandé si j'étais un réel connard et que je n'avais qu'une vision subjective de cette histoire futile et banale

Je me suis demandé s'il fallait que je me batte ou que l'on se batte l'un contre l'autre à propos de cela

Je me suis demandé si t'étais la femme de ma vie et si tu devais passer avant tous les autres

 

Je ne me suis jamais demandé [ INACHEVE ]

 

 

Et si aujourd'hui tu étais à mes côtés ?

Et si j'avais construit mon monde autour de toi en symbiose parfaite, en ne formant qu'un ?

Comment aurions-nous évolué ? Nous serions-nous uni jusqu'à la mort ?

Comment aurais-je été à tes côtés ? Me serais-je stabilisée, tranquilisée, normalisée ?

Aurais-je trouvé l'équilibre qui me manque encore aujourd'hui ? M'aurais-tu aidé à accepter un boulot de merde, une vie de merde mais continuer avec le sourire sans libre réfléxion ?

Ou alors as-tu brillé par ton absence en formant sans le vouloir cette meuf investie, engagée, impliquée, en rage, anti-conformiste, toujours en colère contre les injustices ?

Plus que jamais je t'ai cherché de différentes façons. Plus d'une fois j'ai comblé ton absence. Plus d'une fois je me suis sentie inexplicablement seule dans la foule. Plus d'une fois j'ai pensé à te rejoindre de toutes les façons possibles. Plus d'une fois je me suis demandée pourquoi ton absence me faisait mal. Plus d'une fois j'ai essayé de t'oublier et de te fuir, et plus d'une fois j'ai regretté.

Surement un jour, j'aurais une réponse à tout ça [ INACHEVE ]

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3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 03:20

 

 

J'ai vécu des nuits de folie, des nuits d'inédits, des nuits de vie.

Ces moments où quand tu inspires une bouffée d'air frais tu sais que tu vis.

J'ai connu l'angoisse de son absence, l'angoisse de ses réponses, l'angoisse de ses silences.

J'ai tout remis en question pour elle, j'ai accepté de vivre grâce à elle.

Je me suis autorisé les pires folies à ses côtés car tout avait un sens et tout était purement irrationel que je fonçais la tête baissée dans ce mur qui se profilait à l'horizon.

J'ai marché la nuit dans le froid à écouter Saez à me chercher tous les maux du monde, alors que je n'avais qu'une question à lui poser

Je n'ai jamais osé m'affronter à elle et j'ai accepté tous ses caprices parce elle c'était ELLE

J'ai vécu des nuits d'été inoubliables sur sa terrasse, whisky à la main pour moi, Montbazillac pour elle à observer les étoiles filantes tout en refaisant le monde, sa tête posée sur mon ventre

J'ai connu les moments d'ivresse qui te font pousser toutes tes limites

Avec elle, plus rien n'avait d'importance, le temps était infini et on s'en foutait de passer que trois minutes à trois jours ensemble non stop, l'argent n'importait pas dans nos délires et jamais je n'ai eu à me soucier de quoi que ce soit, les jours où nous nous voyons n'étaient jamais les mêmes...

Bref à ses yeux, j'étais quelqu'un, à mes yeux elle était Blondie, à ses yeux j'étais celui qui aurait pu tout faire flancher, à mes yeux elle était celle qui me faisait peur

 

Plus les jours défilent, plus je me dis que ce que l'on a vécu n'existe que dans ma mémoire.

Comment pouvait-elle passer de l'abominable connasse à la meuf qui me faisait tourner la tête

Parce qu'il est impossible de savoir avec le temps qui passe si désormais je ne suis qu'un mythomane, un gars qui exagère ou un pauvre fou qui s'est laissé prendre au jeu

 

 

Au final, personne ne l'a jamais vu.

Au final, j'ai été lâche pour être parti sans un aurevoir

Au final, je n'aurais jamais du poser mes yeux sur ce monstre de fragilité, dedésir et d'innocence

Au final, sa présence n'était rien car elle s'est faite plus vite oublier que désirer.

 

 

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 22:48

Pas de phrase d'intro, ni même de mon chéri, ou de cher blabla, juste j'écris, lis et tais-toi,

 

Parce que je n'y arriverai pas, parce que je n'y suis jamais arrivée, je t'abandonne comme un chien qu'on frappe et abandonne.

Parce que je ne peux me résoudre à être heureuse, je préfère te rendre ta liberté avant de te contaminer toi aussi à ne vivre que par la souffrance.

Parce que la tristesse me rend bien plus productrice que le bien-être et que les maisons d'éditions m'attendent au tournant pour mon dernier bouquin, je dois faire un choix entre ma carrière et toi.

 

J'aime trop le champagne pour être seulement bien avec toi

 

Parce que je ne suis qu'une merde, je me résouds à t'avouer tout ça uniquement par mail,

 

Parce que je sais que je suis une connasse, une pute, une salope, je t'ai préparé en fichier joint toutes les raisons pour laquelle tu as le droit de m'insulter et me maudir, de ma manie à mettre le couteau à beurre dans le pot à confiture à ma façon de te mépriser en public avec ton boulot avillisant.

 

Parce que définitivement tu mérites mieux qu'une connasse qui t'as trompé  5 fois en 5 ans, oui seulement 5, juste un par an, d'ailleurs toujours proche de notre date anniversaire, juste pour accuser le coup, comme le dernier shot que tu ne sais pas refuser en soirée.

 

Parce que je ne suis qu'une putain d'hedonniste et que tu n'es qu'un stoïcien.

 

Parce que je crois que malgré tous tes fausses tentatives, tu n'es pas assez bien pour moi, et puis parce que j'ai compris que tu ne fonctionnais qu'aux belles paroles pour me faire plaisir.

 

Parce que j'aurais pu te quitter bien plus tôt mais que je ne le faisais pas juste parce que je ne trouvais pas de toît, d'ailleurs les clefs sont à rendre après la trêve hivernale et c'est moi qui garde le chien, puisque tu n'as toujours voulu que des chats.

 

Parce que j'ai besoin de me sentir belle sur des yeux d'un beau mec... oui, prends-le comme tu veux, ça m'est égal.

 

Parce que je resterai à jamais indécise susceptible de faire de tes heures un rêve éveillé que même Disney serait incapable de vendre comme des pires horreurs que même tous les plus grands réalisateurs de film d'épouvante ne pourront jamais faire mieux.

 

Parce que je suis trop jeune pour toi et que ma beauté n'est qu'éphèmere, je ne souhaite pas devenir seule à 35 balais.

 

Parce que tous ces mots n'ont aucun sens

 

Parce que j'ai peur de m'ouvrir à toi et que tu comprennes enfin qui je suis,

 

Parce que tu es le seul à m'avoir redonné l'espoir et que je m'étais confortée dans l'idée que l'amour n'existait pas

 

Parce que je préfère prendre mon petit-déj seule et que je suis lunatique... ça oui !

 

Parce que cette liste sera sans fin, ouvres la putain de pièce jointe à ce mail, choisis un motif pour me larguer, je te laisse ce cadeau de passer pour celui qui a quitté devant nos amis auxquels je prends 50% des parts

 

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 22:11

"  On ne sait jamais comment on passe de l'autre côté du miroir, on ne sait jamais comment on en arrive là

 

Un jour on est la parfaite fille que tout homme rêve de présenter à leur mère après s'être tapé les pires nanas, le jour d'après on devient la pire nana qu'un mec s'est tapé avant de devoir présenter la parfaite fille.

Un jour on est celle à qui on envoie des sms au lever, au petit déjeuner, déjeuner, dîner; le jour d'après on est celle à qui on envoie un sms en fin d'après-midi, entre 17h51 et 17h52, quand la soirée avec les potes s'annule, pour pouvoir combler autrement cette soirée.

 

Un jour on est une une fille qui ne se regarde pas dans le miroir seule mais toujours à deux, le jour suivant on est cette femme fatale qui seule face au miroir remet son rouge à lèvre rouge sang sur ses lèvres réajustant au passage cheveux et décolleté.

Un jour on est la femme de sa vie, le jour d'après pardon, les jours suivants on est la femme de leur(s) nuit(s).

 

Un jour on se respecte, l'autre jour on fait tout pour se salir et se mépriser.

Un jour on fuit les mauvais garçons, les jours suivants on les attire dans nos filets.

 

Un jour on s'habitue à un mec banal pour y fonder sa vie avec, et le jour d'après on s'accroche au bad boy de la pire espèce, au plus beau salop qu'il soit, pour l'aimer d'un amour à sens unique, tout en méprisant le gars le plus gentil possible et disponible sur cette planète, parfaitement consciente qu'il pourrait nous décrocher la Lune sous prétexte qu'il est trop gentil.

 

Un jour on aurait pu être la mère de ses enfants alors que le jour d'après on ne doit SURTOUT PAS l'être.

Un jour on est "son coup assuré à vie", alors que le lendemain on devient le coup le moins certain possible.

 

Un jour on est la fille dont les nanas des autres mecs ont confiance en nous les yeux fermés, alors qu' un  autre jour on devient celle dont elles se méfient comme la peste, qu'elles détestent et insultent sans raison.

 

Un jour on est SA femme, son amour, son coeur, alors que l'autre jour on est sa pute, sa salope, sa chienne.

 

La face cachée du miroir peut s'atteindre facilement, on peut devenir la mauvaise fille rapidement, il faut s'imaginer le transfert d'une femme à l'autre comme une descente de toboggan. Rapide et facile.

En revanche, qui n'a jamais essayé de remonter le toboggan par l'endroit de la descente ? Long, fastidieux, et parfois impossible à faire.

 

Voilà où on se trouve NOUS, à vouloir trop se prouver de choses, qu'on pouvait plaire, qu'on pouvait séduire, qu'on était libre, beaucoup d'entre nous se retrouvent coincées malgré elles dans leur manège.

On joue le rôle de femme puissante et forte car seule et fière de l'être, alors que l'on est que de petit être fragile, innocente et sans défense.

 

Nous sommes celles qui pleurent en sourdine et crient en se mordant les poignets pour que personne ne nous entende.

 

Nous on est là en standby, pas en haut de la plus haute tour du château à dormir, mais à être active sur notre petit lit de notre petit appartement à attendre que notre prince charmant nous éloigne de ce cauchemar éveillé

 

Nous, on est des amoureuses de la naïveté, des faibles romantiques, des célibataires pathétiques, des filles qui amusent la galerie de nos amis en couple, des trop fières pour assumer tout ce qu'on vient de vous dire"

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 23:25

Je pense à toi,

Parfois souvent, parfois souvent trop, parfois peu je dois l'avouer.

Souvent je me dis et me convainc que penser à toi ne sert à rien, à part me faire souffrir.

Je ressens que dans la souffrance et ça tu l'as su contre ton gré.

J'aurais aimé te connaître plus, vraiment crois-moi, j'aurais fait toutes les concessions au monde pour toi, je t'aurais donné ma vie, mon âme, tout ce que j'ai été, tout ce que je suis, tout ce que j'aurais pu être.

Tu n'as pas été là trop longtemps, mais tu l'aurais su, crois-moi, j'aurais tout fait pour toi, je suis même sûre que tu le savais.

 

Je me demande quelle femme aurais-je été pour toi, quelle femme serais-je devenue. Si tu étais restée à mes côtés tu aurais révolutionné mon monde et mon univers, j'aurais fait une croix sur mon nombrilisme et me serais ouvert enfin à un autre être humain sans regret.

 

En ce moment, je pense à toi. Beaucoup trop. Tellement que tu me bouffes de l'intérieur.

Je m'en veux de t'avoir chasser contre mon gré, de ne pas t'avoir laissé ta chance, mais je n'y suis pour rien et ça je suis sûre que tu le sais.

J'ai une sensation de vide, un manque que je ne comblerai jamais, une part d'inachevé, MA part d'inachevé.

Nous sommes restés moins de deux mois ensemble et pourtant je ne t'oublierai jamais. Je me demande quelle aurait été notre part de chemin aujourd'hui.

Nous aurions probablement été comme les deux doigts de la main, mais aurions-nous été seuls contre le monde entier ?

Utiliser le conditionnel ne sert à rien, il faut accepter que tu sois parti, il faut accepter que c'était involontairement ma faute, il faut accepter que le temps nous ait manqué.

 

Quelle femme serais-je sans t'avoir connu ? Aurais-je été encore celle qui souriait mais ne riait pas ?

Ta courte présence m'a-t-elle fait devenir ce que je suis aujourd'hui ?

As-tu été sur mon chemin pour me faire ouvrir les yeux ?

T'es-tu sacrifié pour mon bonheur ?

 

Je ne sais pas comment exprimer ce lien si fort qui nous a uni alors que l'on se côtoyait finalement sans le voir.

Je ne sais pas comment j'ai pu te porter et porterai probablement à jamais tout cet amour en moi que jamais je ne soupçonnerais si fort.

Tu aurais été ma fierté et je t'aurais montré aux yeux de ce monde comme mon alter-ego, mon âme soeur, mon âme, ma vie.

 

Je ne t'oublierais et t'ignorerais jamais.

Tu as été une partie intégrante de moi et tu ne seras jamais un laissé pour compte.

Sois sûr que ta présence et ton absence sont gravées en moi.

 

Par manque de courage, je dois avouer que je ne pense pas à la personne que tu aurais pu être désormais.
J'évite de penser à toi, je me demande juste comment j'aurais pu être, pas ce que tu pourrais être.

 

Ne m'en veux pas, pardonnes-moi,

Je ne sais pas ce qui relève de l'égoïsme: te laisser partir ou te garder près de moi dans la mémoire.

Tu as été l'épisode le plus douloureux de ma courte vie de femme, celui qui a tout déclenché, qui a été le début de la fin pour une période de ma vie désormais enterrée et le plus beau renouveau que j'ai pu m'offrir jusqu'à présent.
Je reste intimement convaincue que tu y es pour quelque chose

 

Je t'aime, pardonne-moi, je ne t'oublierai jamais.

 

Celle qui aurait pu te donner la vie.

 

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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 23:55

- Tu veux boire quelque chose ? Manger un bout ? Manger tout court ? Un dessert peut-être vu l'heure ?

 

- Tais-toi, j'ai quelque chose à te dire

 

-Vas-y je t'écoute

 

- Écoutes, on se connaît depuis peu c'est vrai, mais toi et moi on est comme un vieux tube d'été: le refrain que tout le monde connaît, qu'on chante quand même, mais qui nous soûle profondément.

On a perdu cette fraîcheur et ça tout est de ta faute.
T'es trop cérébral, trop réfléchi, tu te poses trop de questions, tu t'inquiètes que je m'attache à toi et au final c'est l'inverse qui se produit.

Ce que tu vis te fais peur, tu refuses de le vivre, c'est ta décision pas la mienne, mais en aucun cas, ne rejettes pas la faute sur moi à me dire ce dont je me fous profondément.

Tu n'es pas le bon pour moi. Je le sais, aucune ombre de doute ne plane, je le sais, je le sens, ce n'est pas dans mes tripes pas que je te ressens, ni même du plus profond de moi. Tu es un printemps dans mon célibat, un petit vent de fraîcheur qui ne dure pas.

Je suis dure c'est vrai mais sincère.

Je ne joue pas au coeur de pierre, je le suis déjà, j'aime ta présence, ce que tu es, ce que tu représentes, le personnage... enfin j'aimais. Tu me fatigues, ton petit jeu s'essouffle et tu as le souffle bien court.

Et que tu me rejettes tes angoisses de tes sentiments me soulent. Sincèrement arrêtes de vouloir me protéger, ça me gonfle. Tu ne veux pas me donner ton amour ? C'est très bien, je ne le souhaite pas ! je m'en fous et contre fous.

Ne cherches pas à me protéger, je ne suis pas en porcelaine, j'ai le coeur bien plus dur que tu ne le crois, ne crois pas que tu me le piétines.

D'autres l'ont déjà avant toi, j'ai le coeur bien plus dur qu'il ne le paraît.

Je ne suis pas en sucre, et je déteste qu'on parle de moi comme une petite fille.

Je veux juste te dire que toi et moi c'est fini, même si rien n'existait entre nous, je préfère te le dire de cette façon pour que tu comprennes bien que tu n'es rien pour moi.

Je ne suis pas une machine à aimer et à me prendre la tête pour m'envoyer en l'air.
Tu es un bon coup semé d'embûches, et je n'ai pas envie de faire le parcours du combattant pour finir dans ton lit.

Tu ne seras jamais rien d'autre qu'un bon coup de passage, toute notion de couple est exclue avec toi.

 

- OK... J'en déduis que tu ne boiras pas un verre, ni ne mangera quoi que ce soit alors.

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 22:59

"Quoi ? moi je ne suis pas crédible en fille désespérée ? Tais-toi et écoutes:

 

J'ai essayé pendant près d'une heure d'écrire sur toi, j'ai essayé un poème, j'ai trouvé ça niais, j'ai essayé une histoire, et je me suis dit que la nôtre était suffisamment rocambolesque comme ça.

 

On te dit en couple, marié, fiancé, séparé, divorcé, célibataire mais jamais heureux

On te dit drôle, amusant, givré, timbré, saoulant, malade mais toujours avec ce regard triste qui te caractérise tant

On te dit solitaire, seul, renfermé, asocial, autiste, indépendant, tu n'as pas changé

On a beau me dire ce que tu es et ce que tu deviens, je saurai toujours tiré le vrai du faux de tout ça

 

J'aurais envie que tu me reprennes dans bras même cinq secondes

J'aimerais que tu me reposes cette question à laquelle j'ai foiré la réponse

Je voudrais que les secondes deviennent des heures à tes côtés

Je demanderais tellement de choses que ça en serait pêché

 

Tu aurais pu éviter de me faire souffrir

Tu aurais pu de te demander si j'acceptais tous les termes du contrat

Tu aurais pu m'oublier

Mais tu ne l'as pas fait

 

Alors, oui ce soir je veux te crier que je suis à toi, que je n'attends que toi, et que je crève d'envie que tu m'appelles.

 

Et là j'ai l'air suffisamment désespérée ? "

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 22:38

 

Vendredi version.1.0

Salut ça va ?

Non pas de sms le vendredi soir, il va croire que je n'ai pas de vie sociale, et que j'essaye de me trouver un truc au dernier moment

 

Samedi v.1.1 (sobre)

Salut ça va ? Qu'est-ce tu deviens ?

Non certainement pas de sms un samedi soir, c'est un appel désespéré, je ne lui ferai pas ce cadeau de lui dire que j'ai besoin de lui ce soir

 

Dimanche

Alors bon week-end ? Reposes toi bien bizoux

Non mais sans déconner ! Bizoux !!!?? et puis quoi encore, je t'aime marions-nous, faisons des enfants ?!

et puis franchement il n'a pas passé la nuit avec toi, alors on s'en fout de son week-end !

 

Lundi

Salut ça va ? t'es mort ou quoi ?!

T'es mort ou quoi impliquerait un "tu m'as oublié" Pathétique !

Et puis un sms le lundi, ça veut dire genre "j'ai passé un week-end trop pourri, je veux faire en sorte que le prochain soit meilleur, alors je m'organise dès maintenant, et si t'as pas compris ce message veut juste dire, passons la nuit ensemble et rien d'autre

 

Mardi

J'ai fait une bêtise, je crois que la fessée s'impose...

Mais c'est ça bien sur, ridiculises-toi tant que tu y es !!

Pathétique à essayer de rentrer à nouveau en contact en lui envoyant ce genre de sms

 

Mercredi

J'ai fait quelques achats, et deux nuisettes doivent impérativement être inaugurées

Non mais sérieusement, qu'est ce qu'il tourne pas rond chez toi, t'as besoin de chauffer pour lui parler !?

 

Jeudi

NON JE NE VOIS PAS POURQUOI J'ENVERRAI DE SMS BORDEL DE M***

 

Vendredi 2.0

Pastis tomate à ta santé

Et voilà tu es pathétique tu fais genre ta cool mais t'es qu'une merde t'as craqué

 

Samedi 2.1

chz toi dns un huere ?pas de blabal just du sex ?

Heureusement que l'alcool est là, sinon tu aurais perdu une semaine à nouveau

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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 21:02

Nous deux c'était un feu d'artifice de 14 juillet en général.

Sublime, intense mais éphémère.

 

A chaque fois, que l'on se voyait l'intensité était de plus en plus forte, et nos feux d'artifice de 14 juillet devinrent des feux d'artifice pour célébrer la nouvelle année, et chaque rencontre étaient similaires à Londres, Paris, New York, Sydney...

 

La première fois où l'on s'est vu, c'était Paris.

Un souvenir inoubliable, un lieu de carte postale, et la passion qui l'emporte; comme il se passe très souvent à Paris

 

La seconde fois, c'était les éclats de Londres en nous.

Des images qui marquent toujours les esprits, London Eye qui veille sur toi, et la Tamise et son calme qui te fait retomber toute cette pression après les coups tirés.

 

La troisième fois là... c'était Sydney...

Vous savez, la nouvelle année qui fait rêver parce qu'on la passe sur la plage en bikini à observer un des plus beau feu du monde ? Pareil ou presque pareil. Inoubliable quand même... Sauf que tu vis de l'autre côté du globe et qu'il faut songer à rentrer dans ton froid, et laisser ces souvenirs au placard...

 

Enfin la quatrième et dernière fois où nous nous sommes vus, c'était New York...
La fête ne s'est pas s'arrêter sur une nuit et perdus dans cette ville de lumière, l'ivresse, l'excitation; l'intensité ont eu raison de tout. Nous ne nous sommes pas lâchés trois nuits durant, égarés entre la haine, l'envie et l'attachement. Mais comme après chacune de ces immenses fêtes où la raison est mise de coté, tout retombe comme un soufflé. On se sent vide, incroyablement seul et on refuse d'appeler pour souhaite la bonne année parce que tout le monde le fera pour vous.

 

Et puis un soir il y eut le silence, tu rentres de ta fête de nouvelle année, tu te reposes dans le silence, sans télé ni personne, juste le silence et toi.

 

C'est à ce moment que les questions inondent votre tête, mais si elle ne m'appelait pas ? Si celle que je croyais faussement dure en amour l'était réellement ? Et si elle ne m'appelait pas ? Et si elle attendait la même chose de moi ? Resterons-nous campés sur nos positions à s'ignorer ? Pense-t'elle une seconde à m'appeler ? Se pose-t'elle autant de question ?


Enfin avant toute chose... aime t'elle les feux d'artifice ?

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 23:44

Je suis ce qu'on appelle une TPE, une très petite entreprise, c'est à dire moins de  20 salariés. J'ai d'ailleurs changé dernièrement mon statut de micro-entreprise (moins de dix salariés) pour la TPE. Je me réjouis de ce statut, qui montre la maturité et l'expérience de cette boite

 

Je suis ma propre patronne et dirige moi même cette entreprise, j'essaye d'être au plus ferme de certaines de mes décisions, il m'arrive parfois de commettre quelques erreurs, mais j'essaye de les corriger et de ne pas les reproduire.

Mon entreprise est orientée dans le secteur tertiaire, dans les biens et services.

 

J'ai ouvert cette entreprise il y a voilà plus de dix ans, j'espère que son avenir sera resplendissant. Malgré quelques ralentissements ces dernières années, je pense que cette société a le potentiel pour avoir un avenir radieux, mais bien sur, un paquebot peut être sublime mais si le capitaine tient mal le gouvernail, alors c'est tout le navire qui échoue. J'essaye de maintenir en permanence cette exigence de qualité qui fait parfois la réputation de cette entreprise.

 

Concernant le management, je suis une mauvaise employeuse, je ne donne que des missions intérims ou des CDD parfois renouvelables, mais uniquement un contrat à la fois.
Je suis exigeante et demande beaucoup à mon employé au moment où il est embauché

D'ailleurs rares sont ceux qui dépassent la période d'essai, et pour ceux qui la dépassent, leur CDD n'est tout de même pas prolongé, car ils ont réussi à me décevoir AU MOINS une fois.

Je sais je suis exigeante, difficile, chiante, et tout ce que vous voulez, certains de mes employés n'ont pas dit que du bien de moi, car je dois avouer être parfois injuste ou incompréhensible quant à la décision sur leur prolongement de contrat.
Mais je n'ai pas à m'excuser, je suis le chef, et les boss ne s'expliquent pas souvent.

 

Pour favoriser l'expansion de cette entreprise, j'ai décidé de migrer son siège social à la capitale pour être à même au coeur de l'activité. Même si aucun de mes employés de ma micro-entreprise ne m'a suivi, je dois avouer que se lancer dans une ville à la concurrence inconnue, n'a pas été si difficile.

Évidemment, continuer sur cette lignée est tout le mal que je me souhaite.

 

J'en tirerai les conclusions lors du rapport du chiffre annuel en cette fin d'année, je pourrais me fixer quant à la marche à suivre de cette société

Je ne souhaite pas exposer toutes les cartes en ma main, mais il se pourrait qu'un regain d'activité puisse être envisagé en changeant de locaux.

Le marché reste à exploiter et je ne souhaite pas m'étaler plus sur le sujet pour le moment.

 

Si vous avez des questions, surtout n'hésitez pas à ne pas les poser, je me ferai un plaisir à ne pas y répondre.

 

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